Cet article est dédié à toutes les bling-bling assumées ou non.

Balmain

Toujours en partenariat avec le Service Presse su magazine Grazia, la suite de la Fashion Week de Paris en vidéo, épisode 2 avec au programme : Balmain et ses broderies bling-bling, Ed Hardy et ses sacs en diamants, Carven et ses modèles imprimés graphiques ou en dentelle et une expo photo splendide dédiée à Laetitia Casta à la Maison européenne de la photographie. Enfin, un petit tour au vernissage « Darcel disappoints portraits » chez Colette : je peux vous en parler, j’y étais et j’ai vu les oeuvres.

Pour visionner la vidéo Grazia, cliquez ici :

Balmain

Le défilé Balmain s’est déroulé au Grand Hôtel. La collection automne-hiver 2012-2013 est placée sous le signe de la broderie et du strass. Les broderies rétro, je n’aime pas d’habitude, mais le défilé aux allures casual bling plein de fraîcheur, il fallait oser ! Et ça a été fait avec beaucoup de goût, mais c’est du Balmain. Les broderies brillent de mille feux sous les lumières, mais on voit bien mieux dans la vidéo.

Dans le même temps, Ed Hardy présentait chez Hermès de la haute bijouterie, avec des sacs confectionnés de diamants. Pour le bonheur des yeux …

Chez Carven, au Couvent des Cordeliers, les imprimés font penser aux robes et tapisseries médiévales, mais les coupes sont bien au goût du jour, avec des jupes courtes et des chemisiers ajustés. C’est un style « preppy », c’est à dire, BCBG vintage …

J’ai vu l’expo d’art contemporain chez Colette des Darcel disappoints portraits à l’esthétisme simplifié, qui célèbrent 15 ans de mode. On y reconnais entre autres Lady Gaga, Donatella Versace et Coco Chanel sous les traits d’un oeuf avec juste le détail qui fait la personnalité, sur fonds colorés très pop. Je ne mets pas de visuels parce que comme souvent en art contemporain, je suis totalement fan de l’idée, mais je ne trouve pas cela ravissant. Donc, visionnez la vidéo pour satisfaire votre curiosité 😉

A suivre …

Retour de mes quelques jours à Paris, en compagnie de ma soeur Méluzine. Si je dois cette petite escapade à Christofle, spécialiste de l’orfèvrerie de luxe (dont je vous parlerai prochainement), j’en ai profité pour me faire un séjour placé sous les signes de la culture, de la mode et la détente.

Pour la détente, rien de tel qu’un hammam à la Mosquée de Paris située dans le 5ème arrondissement. Moi qui suis une adepte de l’architecture mauresque, me voilà plongée dans mon rêve d’Andalousie avec la cour intérieure, les fontaines, les palmiers et les mosaïques colorées. Le hammam est réservé aux femmes les lundis, mercredis, jeudis et samedis et pour y entrer, il faut franchir l’épreuve de la pâtisserie orientale, juste devant la porte. A 2 euros le gâteau, ça n’a pas été trop dur (mon côté économe ^^)

Prévoyez 1 euro pour votre casier, une bouteille d’eau pour vous hydrater, des serviettes, divers produits de beauté pour le corps et les cheveux, un maillot (quoique … la pudeur n’est pas la préoccupation principale) des tongues, à chausser dès l’entrée, mais attention de ne pas glisser !

Nous avons pris la formule avec thé à la menthe, normal, pour des amatrices de thé comme nous. La première pièce est celle où l’on sèche après le bain de vapeur et le lieu des massages et épilations diverses. Dans le vestiaire, attention au chauffage près du sol, il est brûlant en hiver et laisse des cicatrices en cas de brûlure … et faites impasse sur la propreté !

Puis, on pénètre dans le premier espace du hammam, après être passées par la douche. Une fois votre place trouvée, installez-vous et restez-y . Choisissez une place près d’un point d’eau pour vous rincer. La pièce du fond est la pièce la plus caliente, avec la petite piscine d’eau froide aux vapeurs de chlore mémorables. Ne faites pas comme moi, je suis venue avec un peu de maquillage, mais les vapeurs de chlore ont fait douloureusement fondre mon trait de khôl dans mes yeux fragiles. Ceci dit, on supporte mieux cette chaleur humide les pieds trempés dans l’eau glacée, et c’est bon pour la circulation. Ceci dit, je n’ai pu y tenir trop longtemps, préférant la tiédeur humide qui me donnait moins de vertiges.

Assise sur la pierre marbrée, ce fut alors une série de soins du corps au savon noirs, exfoliants, gommages, masques et crèmes pour le corps, sans parler des soins des cheveux avec des produits solides de Lush. Le tout est rincé au seau d’eau, dont vous pouvez régler la température. L’idéal est d’avoir sa petite Méluzine avec soi, parce que les produits de beauté sont tout son univers et elle sait prendre soin de sa grande soeur  hyperactive. On s’étend alors sur une serviette, c’est plus confortable, et on se laisse aller à somnoler …

Pour finir, on sèche dans le petit salon, en dégustant un thé sucré à la menthe et en terminant par une crème nourrissante pour le corps. Résultat : la peau est d’une douceur appréciable et même sur le chemin du retour, je n’ai pas craqué pour une pâtisserie (eh oui, toujours mon côté économe^^). Ceci dit, la terrasse est joliment décorée et décidément, je rêve encore plus d’Andalousie !

On a terminé cette journée avec une petite virée dans le 1er arrondissement, siège de la mode haut de gamme, avec un coup de coeur pour les bottes rouges Dsquared, la boutique Jimmy Choo et un passage chez Colette, d’où je ramène un petit canard à thé très original. Les chaussures et sacs y sont splendides et … hors de prix, mais quel plaisir pour les yeux. Une fois dans le 1er arrondissement, impossible d’éviter un petit passage chez Angelina pour son fameux chocolat chaud et ses pâtisseries, sans oublier les macarons de chez Ladurée, goûtés uniquement pour ma culture personnelle 😛 Je ne mangerai plus que leurs macarons, dorénavant, leur saveur n’est pas qu’une légende !

Merci à Méluzine pour cette agréable découverte. Suite de mes péripéties parisiennes très bientôt !

En attendant, il y a un concours Vache Qui Rit sur Pla-Net Déco, Salon de l’Agriculture oblige.

Le week-end dernier, j’ai été voir le spectacle musical « Cabaret », avec les talentueux Claire Pérot et Emmanuel Moire. C’est sa doublure qui a joué le rôle de Emcee, et il nous a offert une superbe prestation, sans parler de celle de Claire Pérot, jouant le rôle de la décadente Sally Bowles.

Willkommen, bienvenue, welcome !

L’histoire : L’action de Cabaret se déroule en Allemagne pendant les années 30, au temps où les nazis s’activent à mettre sur pied le Troisième Reich. Dans la boîte de nuit berlinoise le Kit Kat Klub, on retrouve la chanteuse Sally Bowles et le Maître de cérémonie du club, Emcee, qui essayent grâce à leurs divertissements extravagants de faire oublier aux visiteurs les difficultés de la vie. Au cours d’un voyage, un jeune écrivain américain, Cliff Bradshaw, découvre les nuits agitées de la capitale allemande, ravagée par la crise économique. Il tombe amoureux de Sally Bowles, la chanteuse du Kit Kat Club…

J’ai failli être déçue : je m’attendais à plus de danse, plus de costumes, plus de spectacle, mais il est vrai que le fond est assez noir. En revanche, j’ai été séduite par la prouesse technique des acteurs, à la fois chanteurs, danseurs et musiciens de talents. Certaines scènes peuvent être considérées comme quelque peu vulgaires, cependant, mais après tout, Cabaret, c’est ça !

Le début de la pièce fut particulièrement original puisque, pendant que les spectateurs s’installaient, les danseurs s’échauffaient sur scène, conversant avec le public ou fumant leur cigarette.

Je remercie mon éternelle complice de Passions pour ce joli cadeau bien à propos ! Depuis, je ne cesse de chanter dans ma tête

Bye bye mein lieber Herr

Farewell mein lieber Herr

It was a fine affair

But now it’s over

 J’ai très envie de revoir le film Cabaret avec Liza Minelli, du coup, un classique quand on aime la danse comme moi. Je ne résiste pas, je vous en mets un extrait :

 
Mein Herr – Cabaret

 Ah oui, dès qu’on danse avec des chaises, moi … ça me rappelle mes spectacles de danse !

Cela fait longtemps que je ne me suis pas amusée dans ma rubrique « Rose », peut-être un peu lassée … Mais chassez le rose, il revient au galop et c’est ma recette de Riz au lait que j’ai détournée façon girly.

Photo : riz au lait aux pralines roses

La recette est la même que celle du Riz au Lait à une variante près : on ajoute dans le lait 60g de pralines concassées au mixer ou au rouleau à pâtisserie, pendant la cuisson du riz. De plus, j’ai laissé le riz blanchir 5 mn au lieu de 3 et je n’ai mis que 200g de sucre au lieu de 250g.

Vous pouvez aussi tout simplement rajouter une goutte de colorant alimentaire rouge, vendu au rayon pâtisserie des supermarchés. L’effet est le même, le goût original ne change pas, si vous n’aimez pas les pralines.  Quant aux copines, elles sont toujours charmées par la jolie couleur de mes petites recettes sucrées !

Photo de pralines roses : Larousse Cuisine

J’ai trouvé sur le net une affiche non officielle du Body Jam 59 qui illustre parfaitement cette nouvelle édition. J’ai l’impression d’être sur le dancefloor d’une discothèque tout le long : peu de technique, beaucoup de cardio et une bonne playlist. Pas de partie latino, un zeste de hip hop et de la dance à gogo, me voilà ravie !

Poster non officiel venant du blog Deekaminari

L’échauffement me plonge déjà dans le rouge avec le remix de Til Death, de Wynter Gordon. Comme c’est mon morceau préféré, difficile de contenir mon énergie. Et ça ne s’arrange pas avec Drop it low de Kat Deluna. La choré finale se construit dès l’échauffement, ce qui explique peut-être la faiblesse technique. Je commence à récupérer sur le hip hop de T.I avec son Get it,  même si ce n’est pas le moment de le faire. J’en profite pour adopter un air démoniaque telle une bad girl du Bronx qui se déhanche, bras devant le visage, le reste du corps et le regard fixes, le sourire absent …

Le coeur repart aussitôt avec Countdown de Beyoncé, le passage qui achève les genoux et le souffle, à cause de tous les petits sauts à répétition. Pourtant, je ne demande qu’à m’économiser parce que le remix de  Happiness d’Alexis Jordan arrive juste après. Et là, enfin, je prends un plaisir sans mesure à danser et à chanter. Je réalise à chaque seconde de ce morceau que « I find myself in happiness » quand je danse …

Je passe le Run the world (girls) de Beyoncé qui m’amuse sans plus à force de  tourner pendant de lonnnnngues minutes. Mais la récup’ Bass Down Low est une merveille niveau son. Puis, on enchaîne la prépa de la choré finale sur Champagne Shower de LMFAO  jusqu’à l’apothéose sur un autre remix de Wynter Gordon. Je débranche le cerveau, j’en ai tant besoin, mais je laisse mon célèbre lâcher de cheveux s’exprimer  jusqu’aux étirements finaux …

Vivement lundi qu’on recommence ! Body Jam & moi : till death do we part !

Reprise du régime, ok, mais à mon rythme. Reprise du cardio, ok , mais version biking-discothèque … Reprise du Body Jam après un mois d’arrêt pour cause de déchirure, ok … Il me restait à franchir le dernier pas : la reprise de la muscu. Et c’est dans une autre salle de sport que j’ai fait la paix avec les machines. Pas parce que je boude, mais pour transpirer puis papoter avec ma copine Sublime !

Il y a deux ans, j’avais une motivation sans borne à manipuler les appareils de musculation, mais je sais (tu sais, elle sait, il sait, nous savons …) que j’ai perdu tout mon enthousiasme. J’avoue préférer les cours ludiques et haïr le concept souffrir pour être belle ou le no pain no gain et puis j’ai eu ma dose, aussi ^^ En même temps, je suis réaliste et je sais qu’il faut passer un minimum par la case musculation pour récupérer une once de fermeté.  C’est donc tout naturellement, que je me suis rendue à mon premier coaching de l’année  … à reculons ! Convaincue que je n’étais plus bonne à rien, que je n’aurais plus de souffle et que je devrais repartir à zéro, j’ai déposé mon fardeau aux pieds de Thomas, coach chez Fitlane à Nice.

Je m’étais à peine trompée : il m’a fallu repartir à zéro, en effet, avec de petites charges, et je n’avais plus de souffle. Il faut dire que je sortais d’un Body Jam et que j’y avais laissé mon énergie et mon coeur (et un truc comme mon âme, sûrement ^^) Mais peu importe, Thomas s’est occupé sans sourciller de me remettre le pied à l’étrier ! A peine arrivée, il avait tout préparé de manière bien détaillée, avec dessins et consignes : il n’y avait plus qu’à … faire le programme ! Abdos, bras, jambes, tout a souffert, mais j’ai tout fait avec le sourire et avec les vertiges (chut, je n’ai rien dit, fierté oblige, mais je suis sûre qu’il l’a vu ^^) Comme quoi, je suis encore bonne à quelque chose dans ce bas monde du fitness et du culte du corps ! Ainsi, j’ai vu un semblant de motivation se profiler à l’horizon : formidable !

Cerise sur le gâteau, que seuls les intimes comprendront : Thomas parle espagnol et sait ce qu’est la philologie ! De quoi me réconcilier avec la profession et avec les machines ! Comme quoi, toutes les conditions étaient réunies pour que ça me redonne un peu de coeur à l’ouvrage. Je retiens de cette heure dégoulinante les fameuses machines à étirements dont j’ai oublié le nom : un bonheur de se laisser faire ! Tiens, mon corps essaierait-il de m’orienter vers quelques séances de stretching supplémentaires ?

Alors bien sûr, je retourne maintenant dans ma salle de sport habituelle, même si j’ai fait une entorse aux habitudes pour un petit mois. Je m’y sens chez moi, j’y ai aussi de bons amis bien choisis avec qui je partage mes moments d’entraînement et j’essaie d’allier le no pain no gain avec un peu de good times au son d’une bonne playlist …

Merci à Thomas Bouchard  pour son professionnalisme et pour sa bonne humeur !

Et merci à Sublime de m’avoir attirée là-bas … Je repasserai, j’ai des invitations ! 🙂

Je vous donnais, il y a quelques temps, une recette facile de riz au lait. Cette fois-ci, je vous fais partager la vraie recette familiale, la meilleure, celle de ma grand-mère. A parfumer avec un zeste de citron, ou avec une gousse de vanille ou à la cannelle.

Photos : Riz au lait à la cannelle et Riz au lait au zeste de citron

Ingrédients (pour environ 6 personnes) :  1 litre de lait entier,  300 g de riz rond (pour risotto), 4 jaunes d’oeufs, 250 g de sucre, cannelle en poudre, zeste d’un citron non traité OU gousse de vanille (facultatif).

Préparation :

– Blanchir 3 ou 4 mn le riz dans de l’eau bouillante. L’égoutter.

– Mettre le riz dans le lait à feu doux, avec un zeste de citron (ou avec la gousse de vanille, suivant le parfum souhaité), en remuant de temps en temps pour que le riz ne colle pas au fond de la casserole.

– Entre temps, mélanger à part le sucre et les jaunes d’oeufs.

– Lorsque le lait est presque évaporé, retirer le du feu puis ajouter le mélange sucre + jaunes d’oeufs.
– Remettre tout sur feu doux pour que les jaunes d’oeufs cuisent, sans cesser de remuer.
– Laisser refroidir (et décorer avec la cannelle, si vous le souhaitez)

La difficulté : que le riz n’attache pas au fond, donc  penser à tourner souvent.

Et comme j’aime m’amuser avec mes petites recettes, bientôt je vous montre une variante : le riz au lait rose, aux pralines roses.

Ce n’est pas souvent que je publie une ode aux parfums. Je l’ai fait pour A Men de Thierry Mugler puis pour mon (ancien) parfum Hanae Mori.

Cette année, j’ai eu envie de changer de parfum et j’ai eu un immense coup de coeur pour Ricci Ricci de Nina Ricci …

Note de tête : Zeste de rhubarbe, Bergamote

Note de coeur : Belle-de-nuit, Tubéreuse d’Inde, Rose Centifolia

Note de fond : Patchouli, Santal

Ricci Ricci est une citadine malicieuse et enjouée, entre 25 et 35 ans, un peu frivole et gourmande. Le jus est un floral fruité boisé piquant un peu gourmand (rhubarbe, fleurs blanches épicées, patchouli…)

Et je n’avais pas encore vu la publicité associée : l’égérie assise sur les toits de Paris, la longue robe noire, les escarpins chics, les gants noirs, les rubans, je me sens totalement dans mon élément, miaou !

Merci à ma soeur Méluzine pour les suggestions : je ne quitte plus ma nouvelle fragrance !

Les tissus liberty me charment depuis longtemps. Si j’en fais des bracelets pour en porter par petites touches, je préfère habiller ma fille de ces fleurs très tendance. J’ai acheté une robe en liberty violet pour Elisa, et comme elle aime imiter le style de sa maman, elle a laissé de côté le genre « premier de la classe » pour adopter un look plus rock.

Ce n’est pas sans rappeler le look Lolita Rock pour femme que je proposais il y a quelques temps, non ?

Et pour les chaussures avec Spartoo, les bottes Chipie accessoirisent parfaitement la tenue. Qu’elles soient chaudes et douillettes comme le modèle Vakate à fourrure, originales et fashion comme le modèle noir Corège, ou élégantes et design comme les Cobili, elles se marient toutes très bien à cette petite robe portée avec un legging.

J’ai finalement opté pour les Cobili qui ont décidément une touche plus originale avec la surpiqûre, la lanière à boucles et le bijou de botte représentant un chien en métal, logo de la marque.

Profitez-en, elles sont en soldes chez Spartoo !

C’est le match-soldes de la semaine. Avec la tendance « bêtes sauvages » cette saison, les modèles léopards et reptiles fleurissent dans les gammes des grandes marques, aussi bien pour les chaussures que pour les accessoires.

C’est donc tout naturellement que j’ai hésité entre le sac léopard de Morgan ou le sac reptile de Guess …

Le sac Guess est hyper chic avec son design et la boucle en métal en forme de G. Pourtant, j’ai finalement opté pour le sac Morgan léopard gris, pour son côté wild, parce que cela fait un moment que j’ai envie d’un accessoire avec ces petites taches et parce qu’il est plus trendy et dans mon style. Sachez que ce sac Morgan existe aussi en léopard marron, sous forme de pochette et de besace.

Et vous, quelle sauvageonne êtes-vous ? Reptile ou léopard ?